Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le blog de Littletom v.2.0

Le blog de Littletom v.2.0
Archives
Newsletter
30 juin 2010

Désertion

Je sais, je sais, j'ai quelque peu déserté ce blog.
Faut dire que la chaleur (non, non, je ne me plains pas) et ma très faible activité professionnelle ne m'incitent pas à faire fonctionner mes neurones.
En attendant un hypothétique billet bien plus fouillé et structuré, je vous laisse, en vrac, mes dernières news.

@bicyclette : Depuis plusieurs jours, je me rends au boulot en vélo.
Finalement, c'est moins contraignant que je ne le pensais. A part les pavés du centre-ville, le parcours se fait sans souci et sans trop forcer.

@nniversaire
Après plusieurs mois d'intense préparation, la petite fête que j'avais organisée pour les 35 ans de Mamour s'est impeccablement déroulée.
Tout le monde était content d'être là, même si certains ont dû écourter leur journée.
La prochaine fête, c'est pour C2000 qui va fêter ses 10 ans. Tout un symbole.

@ la plage
Enfin, après une trop longue période d'abstinence due à une météo exécrable, on va enfin pouvoir revoir la mer ce week-end.
Il était temps. Je commençais vraiment à me poser la question de l'utilité d'avoir un bateau si on ne peut même pas s'en servir les beaux jours venus.

@venir
Mon ciel professionnel ne s'éclaircit toujours pas.
Par contre, de nombreux autres projets personnels sont à l'étude.
Je vous en dirai plus l'instant venu.

@ table
C'est l'été, la saison des diners dehors et des barbecues.
En ce qui me concerne, je n'ai pas pu résister à la plancha, malgré mon scepticisme.
Et je ne le regrette pas. Ni mes convives d'ailleurs.

Publicité
18 juin 2010

Let there be rock

Aujourd'hui, 18 juin, je suis quelque peu, comment dire... désappointé.
Non que je sois triste pour l'équipe de France, parce que là, franchement, c'est bien fait pour leur gueule.
Non que cette date ne me laisse pas indifférent car il y a 70 ans des hommes et des femmes ont tout quitté et ont parfois mis leur vie en jeu pour faire de notre état un pays libre.
Rien à voir non plus avec cette fichue météo qui confirme bien "Qu'il n'y plus de saison, ma brave dame"
Rien à voir enfin avec ces pauvres petits lycéens qui connaissent en ce moment les affres du bac que j'ai moi-même brillamment (comme tant d'autres) affronté il y a de cela 18 (Diantre, ça me rajeunie pas tout ça, à 8 jours de mon anniversaire)
En fait, si je suis si désappointé, c'est qu'ils sont sur scène une nouvelle fois à Paris ce soir et que, une nouvelle fois, je ne serai pas là pour les voir et les écouter se donner à fond pendant plus de deux heures de folie.
Bon, c'est pas comme si je ne les avais jamais vu en concert. Mais j'avoue que je n'aurais pas été contre un petit supplément.
Parce que, AC/DC, si tu les as pas vus au moins une fois en live, "t'as raté ta vie", comme dirait l'autre.

11 juin 2010

Sacrées stats

Désormais, lorsque je jette un coup d'œil à mes stats, comme tout bon blogueur qui se respecte, je n'ai de cesse de constater que la quasi totalité des requêtes portent sur le même thème : "Ras la touffe"
A croire que ce blog vire à la pornographie.
Pourtant, loin de moi cette intention même si, il est vrai, j'ai parfois des envies coquines de publication en dessous de la ceinture.
Oh, rassurez-vous, point d'images gynécologiques dont le web regorge ni de commentaires graveleux ou tendancieux sur les pratiques sexuelles parfois déviantes de certaines personnes. Rien de tout cela.
Je suis juste désireux de coller à l'actualité qui veut que le sexe et la sexualité ne soient plus tabous.
J'ai déjà évoqué cela par quelques billets ou anecdotes un peu osés, un peu comme quand on raconte des histoires de cul à ses copains ou que Tonton Dédé chantonne une chanson paillarde en plein mariage. Comme dit l'autre, ça n'a jamais tué personne.
Et puis, cela peut peut-être s'expliquer par le fait que je sois un homme et, comme chacun sait, un homme ne pense qu'à ça vu qu'il a une b*** à la place du cerveau. Bon, sur ce dernier point, je ne me reconnais pas vraiment mais j'assume totalement le fait de parler librement d'un domaine qui nous concerne tous, qu'on pratique l'abstinence (ça existe vraiment, ça ?) ou qu'on soit un fervent défenseur du 69 et de la levrette 3 fois par semaine.
Bref, vous l'aurez compris, n'en déplaise à ceux que cela n'intéresse pas (qu'ils aillent voir ailleurs dans ce cas), je continuerai, de temps en temps, à viser l'entre-jambes, pour mon plaisir mais aussi, je l'espère, pour le votre, petit(e)s coquin(e)s.

10 juin 2010

L'art de ne rien faire

Le plus compliqué quand on n'a rien à faire c'est de le faire bien.
Autrement dit : Comment faire en sorte de ne rien faire sans perdre son temps et sans en avoir l'air.
Dans les faits, c'est finalement assez compliqué.
Cela demande une parfaite maîtrise du temps qui passe, des choses qui nous entourent et de la technologie mise à notre service.
Car ne rien faire ne veut pas dire, justement, ne rien faire.
Vous me suivez ? Non ? Je m'explique.
Ne rien faire ce n'est pas compter les minutes qui s'égrainent, regarder les nuages par la fenêtres ou compter le nombre de bus qui passent.
Il y a un peu de ça. Mais si vous ne faites que ça, ça en devient vite lassant, voire stressant.
Il faut savoir gérer le temps qui passe. Chaque chose en son temps. Car si vous faites tout, tout de suite, l'ennui vous guète.
Il faut aussi une discipline d'enfer consistant en une juste répartition des tâches.
Il ne faut pas non plus s'abrutir sur la même tâche pendant trop longtemps.
Encore une fois, tout cela demande de l'entrainement, de l'expérience.
Enfin, ne rien faire ne veut pas dire se déconnecter de la réalité. Car même en ne faisant rien, on peut être appelé à faire quelque chose. Et c'est à ce moment là qu'il faut être réactif et opérationnel.
Je commence vraiment à devenir un pro dans ce domaine.
Mais j'espère bien ne pas le rester trop longtemps car, après, le retour à une réalité plus "occupée", plus intense, est nettement plus compliquée.
Comme disait Aristide Bruant dans sa chanson "Lézard"
On prend des manières à quinze ans,
Pis on grandit sans qu'on les perde :
Ainsi, moi, j'aime bien roupiller,
J'peux pas travailler, ça m'emmerde. 

9 juin 2010

The Best Friends Day

Pour ceux qui seraient un peu passés à côté et qui souhaiteraient rattraper le coup, je vous rappelle qu'hier, 8 juin, c'était le Best Friends Day, autrement dit la fête des meilleurs copains.
Je le conçois, c'est un concept un peu nouveau qui nous vient tout droit... des States, bien évidemment, et qui n'a d'autre finalité que de rassembler ses meilleurs potes pour faire la fête. Comme si faire la fête avait besoin d'une occasion spéciale.
Enfin, moi je dis ça mais en fait, je m'en fous totalement de best friends day, vu que je n'ai toujours pas de meilleur(s) ami(s)
C'est vrai que, parfois, ça me manque un peu de n'avoir personne avec qui causer/vider une bière/mater un match/regarder les filles  (rayon la ou les mentions inutiles). Mais je ne m'en porte pas plus mal.
L'avantage, c'est que je n'ai personne à inviter à la maison, donc aucun dégât potentiel à déclarer (bris d'objets, toilettes à nettoyer, bouteilles vides à jeter, etc.) et que mon stock d'alcool ne descend pas aussi vite que les chutes du Niagara.
J'ai peut-être une vision un peu simpliste, voire macho, du monde des copains mais vu que je n'en ai pas (de copains), je peux difficilement m'en faire une autre (de vision)
Alors, les quelques amis que j'ai, même si ce ne sont pas "mes-meilleurs-potes-que-j'ai-depuis-l'école", je les soigne du mieux que je peux de sorte que nous restions fidèles les uns aux autres et que chaque occasion de se voir soit pour nous une fête.

Publicité
7 juin 2010

Un livre, un jour

Une fois n'est pas coutume, je vais vous parler de mes lectures car, mis à part Autoplus et mes magazines culinaires, il m'arrive de dégainer un livre de poche de temps en temps.
En la matière, je suis très policier/thriller.
J'ai mes petits préférés : Connelly, Camut et Hug, Grangé, Cornwell, etc.
Mon panorama littéraire est donc fait de meurtres, d'enquêtes policières et de serial-killers en tout genre.
Mais, de temps en temps, je m'accorde une lecture un peu différente.
Pour ce faire, je me fie à mon instinct, aux critiques et à la 4è de couverture sur les présentoirs des librairies.
Et là, je viens de tomber sur une perle.
J'en avais vu une brève présentation dans un magazine que lit Mamour (Biba ou Cosmo, je sais plus) mais sans m'y attacher plus que ça.
C'est ainsi que je suis de nouveau tombé dessus en fouinant dans une librairie. Après l'avoir dévoré d'une seule traite, je peux vous dire sincèrement que je ne regrette pas mon achat.
Le bouquin s'intitule "Maudit Karma" et il a été écrit par un allemand, David Safier.
Sans trop en dévoiler, c'est l'histoire d'une animatrice télé, plus préoccupée par son travail que sa vie de famille, qui, parce qu'elle a accumulé beaucoup trop de mauvais kharma et parce qu'elle a été frappée par une météorite, va être réincarnée en fourmi. De là, elle va tout faire pour récupérer son kharma et sa famille.
Je ne peux que vous le conseiller tant l'écriture est pleine d'humour.
Un excellent choix pour l'été un peu pourri qui s'annonce (Défaite des Bleus au premier tour, dopage dans le Tour de France, orages violents, plages bondées, crustacés pas frais, etc.)

7 juin 2010

Même pas mort !!

Chers lecteurs (s'il en reste encore...)

Je vous prie de bien vouloir m'excuser pour cette interruption momentanée de publications sur ce site, bien indépendante de ma volonté.
En effet, les dernières semaines n'ont pas vraiment été propices aux confidences, anecdotes et autres bons mots de ma part.
Pour tout dire, j'ai eu une période un peu trouble sur le plan professionnel, me posant mille et une question.
Alors, quand on cogite, le découragement prend un peu le pas sur le plaisir d'écrire.
Mais bon, les choses avancent. Pas comme je le voudrais, mais elles avancent.
Aussi, j'ai décidé de me reprendre en main, de laisser de coté ce volet de ma vie et de me concentrer sur les autres priorités de mon quotidien.
Revenir plus souvent sur ce blog en fait partie.

18 mai 2010

Ta Mère en short !!

J'ai peut-être passé l'âge de confectionner des colliers de nouilles ou de décorer à la gouache des pots de fleur.
Toujours est-il que je ne manque jamais la Fête des Mères.
Mais, chaque année, c'est le même dilemme qui refait surface : Quoi lui offrir ?
Parce qu'une Maman, c'est bien connu, ça a tout et ça n'a besoin de rien (si ce n'est de l'amour par wagons entiers)
C'est bien beau tout ça, mais ça ne fait pas avancer le schmilblick.
En feuilletant les catalogues ou en parcourant les boutiques, on en revient encore et toujours aux mêmes propositions qu'on n'hésite pas à nous refourguer chaque année (preuve que ça doit marcher) : Aspirateurs, centrales vapeurs, épilateurs, pèse-personne, yaourtières, machines à pain, pyjamas et nuisettes, bijoux fantaisies, produits de beauté, et j'en passe.
A croire que les Mamans ne sont bonnes qu'à rester chez elles et prouver qu'elles sont bien des fées du logis, tout en se négligeant, oubliant par-là même qu'elles sont d'abord et avant tout des femmes.
Heureusement que les pros du marketing sont là pour nous le rappeler.
Mais tout risque de changer. La révolution est en train de poindre. Grâce, notamment, à internet.
L'offre tend désormais à se diversifier, aidée en cela par le vaste choix offert par le web.
On peut enfin sortir du carcan "femme au foyer qui se néglige" pour offrir de l'original : Objets photos, tee-shirt imprimés, coffrets week-end, bons d'achat de grandes marques, etc. Ce sont les enfants (et surtout le père des enfants qui, seul, détient le pouvoir décisionnaire et le pouvoir d'achat) qui vont être contents. 
Surtout qu'une toute nouvelle tendance en matière de cadeau à offrir à sa mère lors du traditionnel repas familial de Fête des mères se fait jour (j'en veux pour preuve les nombreuses pub à ce sujet reçues dans ma boite mail ces derniers jours) : le sextoy.  Si l'idée peut paraître séduisante (surtout pour papa), la mettre en pratique l'est en revanche beaucoup moins : Lequel choisir ? A piles ou manuel ? Rose ou noir ? Réaliste ou fantaisie ? Discret ou voyant ? Canard ou Rabbit ?
Une fois de plus, je me dois de remercier le net et sa clairvoyance car, sans lui, je n'aurais jamais eu une telle idée de cadeau.

PS : Pour la gestion des réactions forcément perplexes de Tata Jacqueline et de Mamie Suzette, je vous laisse gérer.
Je ne vais pas non plus faire tout le boulot à votre place.

6 mai 2010

Ras la touffe (et oui, encore)

(Note plus particulièrement destinée à mon lectorat féminin, toujours plus étoffé.
Notez bien que c'est mon lectorat qui est très étoffé, hein, pas les femmes. Enfin, vous m'avez compris, n'est-ce pas ?)


Malgré une météo qui n'incite pas aux décolletés et autres tenues estivales, il est plus que temps de se préoccuper de son apparence estivale. Pour ce qui est des régimes ad hoc, je laisse ça aux diététiciens et aux revues féminines de printemps. De toute façon, vu mon embonpoint, je serai fort mauvais conseilleur !
Je veux aborder ici un grave problème que connaissent toutes les femmes désireuses de se mettre en maillot : les traces de bronzage.
Si vous n'êtes pas une adepte du nudisme/naturisme (rayer la mention inutile), vous savez fort bien que les traces disgracieuses laissées par les maillots de bain ne sont pas du plus bel effet sur une peau bronzée.
En réduisant la surface du textile, on réduit par la même occasion ces petits désagréments.
Sans aller jusqu'à l'intégral, on peut également faire tomber le haut.
Mais il restera toujours l'épineux problème de la culotte ou du string de bain
(rayer la mention inutile), toujours prompt à trahir de sa présence lors des séances d'UV sur la plage.
Heureusement, de grands ingénieurs se sont penchés sur la question, si je puis dire, pour le plus grand bonheur des femmes.
Et ils ont inventé ÇA.
Avec le Cstring, finies les sous-vêtements voyants sous les vêtements clairs et/ou moulants
(rayer la mention inutile, si besoin)
Finies les vilaines traces de bronzage inopportunes.
Certes, cela exige d'avoir recours à une épilation quasi-intégralequasi-intégrale mais avouez, mesdames, que le jeu en vaut la chandelle, surtout qu'il ne vous en coûtera que la modique somme de 29,90 € sur le net (Hors frais de port)
Par contre, la pub ne dit pas quelle attitude employer à la plage, face aux vacanciers qui, soyez en sûres, ne manqueront pas de vous regarder droit dans les yeux.
Alors, on dit merci qui pour cette fabuleuse trouvaille ?

La prochaine fois, je vous parlerai de la boite à Nana

® qui ne permet d'emporter qu'une serviette périodique à la fois.

4 mai 2010

Je m'ennuie

En ce moment, je m'ennuie au boulot.
Suis-je normal ?
J'ai vraiment l'impression d'être payé à rien faire.
En disant cela, je sais que je risque d'en froisser certains qui triment tous les jours, qui vont bosser à reculons, qui souffrent de devoir supporter collègues et patrons, qui peinent à traiter tous leurs dossiers.
Mais je crois que dans la vie d'un travailleur, il n'y a rien de plus exécrable que l'ennui au travail.
Je n'en suis pas encore au stade du suicide, Dieu merci, mais mon taux de sérotonine ne doit pas être au mieux.
Dans ces moments-là, on regrette amèrement de ne pas être chez soi ou de ne pas avoir fait d'autres choix professionnels.
Il me serait facile de démissionner, de tout plaquer mais les conséquences ne joueraient pas en ma faveur.
D'abord, il n'est pas dans mes habitudes de laisser tomber quelqu'un qui, un jour, a eu la bonne idée de me faire confiance en m'embauchant à ses côtés. Ça sent la retraite pour lui et donc le changement pour moi. Donc, je ronge mes freins et j'attends patiemment.
Et puis si je quittais mon poste, en retrouver un autre, avec les difficultés qu'on connaît pour trouver un emploi, ne sera pas chose aisée, pour ne pas dire très compliquée.
Alors, je continue à déprimer m'ennuyer, tiraillé entre la volonté de ne pas laisser sur le carreau une personne incapable de gérer ses affaires sans moi et celle de changer d'air, de trouver une activité à la hauteur de mes compétences.
Car, en plus, j'ai l'impression non seulement de perdre mon temps mais également de perdre mon acquis professionnel.
J'ai l'impression que mon savoir-faire s'efface chaque jour un peu plus.
J'ai l'impression que ma confiance en moi s'effrite et que tout cela aura une incidence sur ma capacité à rebondir professionnellement.

Malheureusement pour moi, tout ceci se répercute aussi dans ma vie quotidienne.
Plus envie d'écrire (ça, vous vous en étiez rendu compte)
Des réticences à faire des projets sans savoir si, dans quelques mois, ils seront encore viables.
Rien à raconter, rien à partager.
Pas de vie sociale.
Et j'en passe.

Je devrais presque sauter de joie de recevoir chaque fin de mois mon salaire sans jamais crouler sous le travail.
Mais j'ai ma fierté.
J'en profite mais cela ne me rend pas plus heureux.
Suis-je normal ?

Publicité
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 > >>
Le blog de Littletom v.2.0
Publicité
Publicité